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Il y a beaucoup de personnages mémorables
Avec 456 participants, il n’est pas surprenant qu’il y ait des gens de différents horizons.
Gi-hun (Lee Jung-jae) est un divorcé qui se débat avec l’échec de son entreprise et ses dettes. Son ami de quartier Sang-woo (Park Hae-soo) est allé dans une université prestigieuse et travaille dans une société d’investissement, mais se retrouve dans une situation difficile. Il y a aussi Sae-byeok (Jung Ho-yeon) qui est une transfuge nord-coréenne s’efforçant de réunir sa famille.
Parmi les autres personnages intéressants, citons Deok-su (Heo Sung-tae), un gangster, et Jun-ho (Wi Ha-jun), un policier qui découvre les jeux en cherchant son frère disparu. Vous vous sentirez investi et intéressé par chacun des personnages.
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Un grand symbolisme, de grands décors et une grande musique
En plus du facteur divertissement, il y a beaucoup de symbolisme à apprécier. La série entière est une allégorie destinée à symboliser la société contemporaine compétitive dans laquelle nous vivons.
La façon dont les humains changent en tant qu’adultes à travers la société se reflète dans la façon dont les jeux innocents des enfants se transforment en quelque chose de terrifiant et de mortel.
Les acteurs ont également complimenté les décors détaillés et la façon dont le réalisateur ne s’est pas appuyé sur des images de synthèse, optant pour des décors réalistes et à grande échelle.
Enfin, la musique reflète ce que les enfants écoutaient dans les années 70 et 80, ce qui donne une impression de nostalgie et de proximité.
Tous ces attributs se réunissent pour créer une expérience immersive et captivante.
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