Le papy croyait être en couple avec cette femme, alors il octroie un prêt de 15000 euros auprès de sa banque pour le lui offrir, ainsi qu’une somme de 5800 euros prise sur le compte de sa sœur sans son autorisation.
Au court du procès, le président demande à l’employée : » Vous saviez qu’il était amoureux de vous, vous en avez joué ? « . « Non, j’ai profité qu’il soit amoureux mais je n’avais pas besoin de lui demander l’argent, il me le donnait de lui-même « , déclare la quinquagénaire.
Toutefois, elle a avoué avoir caché au vieux à son employeur qu’elle est était uniquement séparée de son mari et non pas divorcée. Elle précise que : « Si j’avais dit la vérité, il aurait cessé de me donner de l’argent ».
Il paraît que l’homme aurait même voulu lui léguer sa Vespa, sauf qu’elle a refusé. « Là, j’ai dit non », déclare-t-elle.
L’avocat de la famille de l’homme s’est révolté contre l’aide ménagère : « On lui a laissé espérer que le couple qu’il pensait avoir été possible. Il a eu le cœur brisé »
Condamnée à 6 mois de prison avec sursis, l’aide-ménagère qui a récolté un montant total de 21.170 euros, devrait désormais les rembourser au vieil homme, sans oublier les 5400 euros qu’elle devrait également rendre à la sœur de la victime.
Toutefois, elle a était licenciée de son poste par l’ADMR.
De son côté, le vieil homme a été placé sous curatelle renforcée par ses deux neveux pour éviter d’autres problèmes à l’avenir.