Ce n’est pas parce que votre relation a duré des années que cela signifie nécessairement que c’est le bon à épouser. Toutes les relations amoureuses ne se terminent pas par un mariage.
Les couples se mettent ensemble pour toutes sortes de raisons différentes. Certaines sont extrêmement égoïstes et provoquent l’effondrement de la relation en peu de temps. D’autres raisons semblent être bonnes au départ, puis la relation tourne à la catastrophe et il devient alors impossible de la préserver ou de la sauver.
Est-ce le « bon » ?
Les films d’amour hollywoodiens nous ont appris tellement de choses. On a toujours l’impression que l’on saurait automatiquement reconnaître la bonne personne dès moment où nos regards se croisent, mais cela est-il vrai ?
Dans cet article, nous avons voulu partager avoir vous 6 histoires mignonnes de femmes mariées qui ont décidé de nous raconter à quel moment elles ont su qu’elles avaient rencontré « le bon ».
#1. « J’ai su qu’il était le bon quand j’ai croisé son regard. Je n’ai plus jamais regardé ailleurs. »
« Cela ne fait que 9 ans que je suis mariée et j’ai l’impression de l’avoir connu toute ma vie. Nous nous sommes connus à l’université, mais nous n’étions jamais sortis ensemble. Plus tard, lorsque le destin nous a réunis pour la deuxième fois, nous avons découvert que nous étions faits l’un pour l’autre. Je peux vous dire exactement à quoi il pense. J’ai su qu’il était le bon quand j’ai regardé dans ses yeux. Je n’ai plus jamais regardé ailleurs. »
#2. « Il a été un parfait gentleman, ce qui m’a fait comprendre qu’il était celui qu’il me fallait. »
« Mon mari m’a abordé dans la rue pour me demander son chemin et je le lui ai indiqué. Le lendemain, je l’ai revu et il m’a de nouveau demandé son chemin. Cela m’a fait rire, mais je lui ai dit comment s’y rendre. En guise de remerciement, il m’a invité à l’accompagner au restaurant, proposition que j’ai acceptée avec joie.
Nous avons eu quelques rendez-vous par la suite, et il a été un parfait gentleman, ce qui m’a fait comprendre qu’il était celui qu’il me fallait. »