Le 7 janvier dernier, le ministre de la Santé, Olivier Véran, s’est exprimé au sujet de la montée en puissance du nouveau variant britannique du coronavirus en évoquant deux clusters à haut risque dans le pays, en Bretagne et en Île-de-France.
« Je ne vous cache pas mon inquiétude »
Le ministre n’a pas hésité à partager sa préoccupation face à la contagiosité de ce variant, même s’il a déjà annoncé lors d’un communiqué que la souche mutante trouvée en Bretagne n’a rien d’identique avec celle de la Grande-Bretagne.
« Je ne vous cache pas mon inquiétude vis-à-vis de ce variant anglais. Pas par la nature des symptômes qu’il provoque, mais par le côté plus contagieux qui lui est conféré par les scientifiques anglais. », a-t-il déclaré.
La communauté internationale et le monde entier sont préoccupés depuis l’apparition des deux variants, britannique et sud-africain.
Si le variant qui s’est développé en Afrique du Sud est considéré comme « toxique », l’autre en Grande-Bretagne, nommé SARS-CoV-2 VOC 202012/01, est sous surveillance, vu qu’il est réapparu aux États-Unis ainsi que dans 16 pays européens, dont la France.
Un virus différent…